Nouvelle ICO, nous cherchons des ambassadeurs internationaux
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@sigmar a dit dans Nouvelle ICO, nous cherchons des ambassadeurs internationaux :
C’est pour faire de la sous-traitance avec garantie de paiement
Certes Connecty permet cela, mais cela reste très accessoire et l’écosystème Connecty ne peut être réduit à cette seule fonctionnalité.
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Bonsoir
J’ai de nouvelles informations sur le projet. Je ferai un topic officiel sans trop tarder.
Je vous partage le short format qui présente le projet et le livret pour les premiers investisseurs.
N’hésitez pas à me faire des retours.
Je suis toujours à la recherche de personnes.
Bonne soirée.Short format :
https://drive.google.com/file/d/1E6E2f65oH9qjCP_S3b2gBylsK68a4f6T/view?usp=sharingPrimo investisseurs :
https://drive.google.com/file/d/1s2Px6Nx6G298j6ssvu7XbWfHuRDZFKrB/view?usp=sharing -
Ce message a été supprimé !
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Je vais rapidement faire un topic officiel. En attendant si vous voulez venir discuter voici le lien telegram et discord :
Discord : https://discord.gg/xB4wZCW
Telegram : https://t.me/ConnectyCoin
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@kali Le moins qu’on puisse dire, c’est que la personnalité d’Ibriss Aberkane est controversée. (et ce n’est qu’un lien parmi d’autres que renvoie une recherche très superficielle).
Une autre objection me vient, plus fondamentale, celle qui consiste à verrouiller par la monétisation l’échange de connaissances, ce qui va pour moi à l’encontre du mouvement de fond vers la mise en communs de la connaissance.
En quoi la prestation d’un “sachant” peut-elle servir à l’écosystème général et non pas au bénéfice d’un seul “acheteur” de connaissance ?
Je suis loin d’être convaincu par ce projet.
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@kali votre conseiller Idriss ABERKANE un gros calibre dans le domaine de l’ économie de la connaissance .
Comme toute personnalité de son rang il a aussi ses “détracteurs” .
Tout de même je reste sceptique quant à la réussite du projet , une sorte de “tokenisation” de la connaissance. -
@Drapostyle-Drapostyle on a vu des gros calibres plus consensuels…
Sa présence en dit beaucoup déjà.
- quoi qu’on en dise, avancer un tel ambassadeur donne le ton et dit le public auquel on s’adresse
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En fait, c’est pour remplacer les brevets, les marques, etc. ? Pas évident quand même…
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@jean-baptiste-soufron On est très loin de ce genre d’ambition pour ce que j’ai pu en voir (allez voir le § “COMMENT ÇA MARCHE”)
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@Nammalvar
Par rapport à Idriss Aberkane :http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/05/diplome-doctorat-Polytechnique.pdf
http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/10/doctorat-litterature-pdf.pdf
http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/05/thes-CEDS.pdfune journaliste en avait rajouté, mais il n’en n’est pas responsable
https://lemuslimpost.com/veut-peau-idriss-aberkane.htmlLe jour où le cursus de formation de chaque individu sera inscrit dans la blockchain ce genre de problème n’existera plus :winking_face:
“Une autre objection me vient, plus fondamentale, celle qui consiste à verrouiller par la monétisation l’échange de connaissances, ce qui va pour moi à l’encontre du mouvement de fond vers la mise en communs de la connaissance.”
La plateforme a pour objectif justement de faciliter la circulation de la connaissance entre deux mondes très cloisonnés et particulièrement en France. J’entends celui de la recherche et celui de l’entreprise. Le rapport beylat tambourin montre bien cette problématique qui n’est pas vieille d’aujourd’hui.
On reste bien entendu dans le cadre de la vente de connaissances. Cependant les frais de cette opération en sont grandement réduits (suppression du tiers de confiance, Réduction et simplification de la partie administrative et juridique grâce aux smarts contrats, réduction des frais bancaires grâce à l’utilisation d’un token à la place du fiat).
Le marché visé est celui de l’innovation/recherche et développement. Le monde de l’innovation/R&D est déjà monétisé. Dans le short, il est avancé le chiffre de 1.9 trillons de dollars dont 7% pour l’échange de connaissances soit 135 milliards.
L’idée, c’est qu’actuellement les expertises pour les PME qui veulent innover sont très coûteuses ce qui apparaît comme un frein. Un frein à l’innovation ainsi qu’au partage de connaissances. La plateforme connecty.io pourra justement permettre de faire sauter cette barrière en proposant aux différents acteurs de la connaissance de monétiser ces dernières en simplifiant toute la démarche + réduction des frais.“Tout de même je reste sceptique quant à la réussite du projet , une sorte de “tokenisation” de la connaissance.”
Selon nous l’utilisation d’un token est indispensable pour la mise au point d’une économie de la connaissance efficiente et mondialisée. Le token apporte à la fois une monnaie avec les avantages associés à cette dernière (principe argent dette, indépendance vis à vis des institutions publiques ou privées, etc.), et via la blockChain, un système de paiement planétaire, en libre accès, le tout pour un très faible coût. Il nous semble que l’utilisation de monnaies fiat a deux inconvénients rédhibitoires à la mise en place d’une économie circulaire de la connaissance : l’absence d’effet de levier lié au mécanisme de l’argent dette et l’absolue dépendance aux institutions bancaires existantes (droits d’entrée, contrôles, frais excessifs).
“En fait, c’est pour remplacer les brevets, les marques, etc. ? Pas évident quand même…”
Non pas du tout. C’est une plateforme qui vas permettre de simplifier la mise en relation du monde de la recherche avec celui des entreprises.
Petit vidéo de Olivier Nerot si vous avez le temps de la regarder. Elle est intéressante et il soulève des utilisations possible de la blockchain dans le futur :
https://www.youtube.com/watch?v=QInKxMxkn5Q -
@kali a dit dans Nouvelle ICO, nous cherchons des ambassadeurs internationaux :
@Nammalvar
Par rapport à Idriss Aberkane :http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/05/diplome-doctorat-Polytechnique.pdf
http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/10/doctorat-litterature-pdf.pdf
http://idrissaberkane.org/wp-content/uploads/2016/05/thes-CEDS.pdfune journaliste en avait rajouté, mais il n’en n’est pas responsable
https://lemuslimpost.com/veut-peau-idriss-aberkane.htmlLe jour où le cursus de formation de chaque individu sera inscrit dans la blockchain ce genre de problème n’existera plus :winking_face:
Personne n’a nié qu’il ait deux doctorats, mais ça n’en fait pas un enseignant- chercheur. C’est d’autant plus inquiétant que votre projet s’adresse en grande partie au monde académique, dans lequel personne ne se fera avoir par de tels sophismes.
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@kali merci pour tous ces éléments (pour ma part je ne demandais pas des preuves sur le savoir de M.ABERKANE dont je reconnais le talent ) c’est plutôt sur le projet . J’ai pris acte de votre réponse sur le paragraphe qui m’est consacré. Je vous souhaite bonne chance …
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@kali OK je pense que je comprends un peu mieux.
Pour moi il y a clairement malentendu du coup : il faudrait parler de Token et d’économie de l’Innovation, pas de la Connaissance.
Je trouve qu’il y a ambiguïté délibérée entre Innovation et Connaissance dans ce projet, qui risque bien de favoriser les enclosures.En effet tout ce qui concerne la privatisation des connaissances (et par extension le secret, ou bien les brevets, ou bien encore les problématiques de copyright) est absent de ce WP [enfin, de ce non-WP, puisqu’il n’existe manifestement pas encore], alors que c’est justement cela la problématique centrale à laquelle une telle blockchain, un tel token devrait s’attaquer : accompagner le cycle de vie des connaissances innovantes (à valeur ajoutée, pour le dire grossièrement) en s’assurant de leur valorisation sans tromperie dans leur phase de plus grand impact, et de leur mise en communs sans accaparement dans leur phase de diffusion/divulgation.
Autrement, c’est juste encore une blockchain à faire de l’eau tiède : pour l’heure, j’y vois juste un vague projet de système décentralisé d’appel d’offres documentalistes.
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@Nammalvar
Nous créons la monnaie de la connaissance portée par notre token CTY (connecty). Cette monnaie de la connaissance est un des outils qu’il manque actuellement à l’univers de la connaissance. Cet univers regroupe l’ensemble des pôles de connaissances et des “noeuds” d’innovation qui se situent à la croisée des chemins de ces différents pôles de connaissances (mathématiques sciences, biologie, sciences humaines, sciences économiques, etc.).
Le monde de l’innovation qui regroupe ceux qui entreprennent, et le monde de la “connaissance” qui regroupe l’ensemble des sachants, de ceux qui portent et créent la connaissance (chercheurs, professeurs, experts, etc.) font tous deux parties de ce grand univers de la connaissance. Si on considère une métaphore astrophysique et le parallèle avec la Voie Lactée, ces deux mondes constituent les deux hémisphères de la galaxie de la connaissance avec un grand attracteur (les innovants qui attirent la connaissance) et un grand “répulseur” (les sachants qui créent et donnent la connaissance).
Notre projet consiste à libérer le potentiel d’innovation existant par la mise en relation directe des innovants et des sachants. La connaissance sera alors plus libre de circuler d’un monde à l’autre et surtout, nous apportons un outil qui permettra à ces deux mondes de l’innovation et de la connaissance de mieux se connaître, de mieux échanger et de mieux s’apprécier. Nous allons redynamiser entièrement le cycle de l’innovation par cette fenêtre ouverte sur l’autre et par la fluidification et l’accélération des échanges.
La connaissance qui sera échangée via la mise en relation permise par notre plateforme sera sous plusieurs formes :- La première, la plus naturelle et la plus immédiate à produire, sera sous forme orale : réponse à une question/problématique de vive voix
- La deuxième consistera en un rapport écrit regroupant un ensemble de connaissances par exemple bibliographique, résultat d’une synthèse écrite des connaissances existantes du sachant
- La troisième forme sera le résultat d’une étude, d’un travail de recherche qui aura créé une connaissance nouvelle.
Bien entendu, ces trois formes ne sont pas limitatives, mais elles viennent illustrer que la connaissance qui sera échangée grâce à notre plateforme se différencie grande d’une prestation qui aurait la forme d’une réalisation. Nous restons sur la connaissance pure, immatérielle qui foisonne dans nos sociétés, à tous les niveaux, mais qui, dans la majorité des cas, restent ignorées, sous-valorisées et gâchées.
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@kali c’est parfaitement caricatural, vous ne faites qu’enrober de jargon marketing ce que je constatais en une simple phrase :
c’est juste encore une blockchain à faire de l’eau tiède : pour l’heure, j’y vois juste un vague projet de système décentralisé d’appel d’offres documentalistes.
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@kali cela fait d’ailleurs de votre ICO un parfait exemple de l’esbroufe généralisée actuelle : plutôt que de prendre à bras-le-corps une problématique (économie de la connaissance = brevets + copyrights + secret + communs de la connaissance) et de tenter de la mettre en équation d’une façon nouvelle via les éléments que mettent à disposition les blockchains (hashs, zero-k, preuves, théorie des jeux, et tant de choses encore), on se contente d’aligner pompeusement d’épais truismes qui feraient rougir n’importe quel honnête homme (enfin, son équivalent moderne).
Tout votre texte est digne d’une précieuse ridicule. C’est fatigant à la longue.
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@nammalvar a dit dans Nouvelle ICO, nous cherchons des ambassadeurs internationaux :
Tout votre texte est digne d’une précieuse ridicule. C’est fatigant à la longue.
En ce qui me concerne, c’est ce genre d’avis pessimistes qui me fatigue. D’autant plus en voyant un argumentaire bancal avec un vocabulaire un tant soit peu soutenu pour se donner un air intelligent. Maladroit.
Le monde de la Blockchain a besoin d’innovation, besoin de nouvelles idees. Certains se bougent les fesses pour creer le monde de demain, et ca fait plaisir.
Moi j’y vois un beau projet, pleins d’ambitions et de belles intentions. Democratiser, internationaliser et surtout developper des outils qui permettent de partager de la connaissance. Tout cela sur fond de blockchain. Yes.
On attend d’en savoir plus! Merci @kali
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@witmeur27 a dit dans Nouvelle ICO, nous cherchons des ambassadeurs internationaux :
En ce qui me concerne, c’est ce genre d’avis pessimistes qui me fatigue.
Que cela te fatigue de réfléchir, je n’en doute pas. Mon propos est clair même s’il est virulent : vouloir bâtir une blockchain autour de l’économie de la connaissance et faire l’impasse sur les problèmes très importants que sont brevets, copyrights, secrets industriels et autres tours de mains, ou ne pas tenir compte de l’exigence de gratuité de la mise à disposition des connaissances d’autre part, c’est de la vaine branlette.
Les ICO de bisounours, c’est très mignon, mais de mon point de vue c’est pas très intéressant. On a la chance de vivre une période charnière où on dispose d’outils pour refonder les rapports au savoir, à la pensée, à l’argent, et retomber dans les ornières de la facilité me désole. C’est tout le contraire du pessimisme ce que j’affirme : ce projet a des faiblesses criantes, et il peut, il doit, faire mieux.
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@nammalvar Mais qu’est-ce que tu en sais que ce projet fait l’impasse sur les brevets, les copyrights, le secret pro? Tu as discute avec les fondateurs du projet pour le savoir? Dans ce cas je suis friand de ce que tu as decouvert alors!
Tu parles de gratuité de la connaissance…tu penses qu’un chercheur qui monte son labo pour faire de la recherche de pointe il le fait contre un sourire? Lui aussi a besoin de se nourrir alors oui il vend son savoir. Pardon Etienne mais je ne crois pas que les ingenieurs de la snecma vont chiner du Readme sur Github pour concevoir Arianne 6.
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@witmeur27 c’est très gentil et généreux de ta part de vouloir répondre à leur place, mais c’est d’eux que j’attends des réponses.
Et j’ai une nouvelle preuve que tu ne sais pas lire : tu n’as tout simplement pas vu le balancement de la phrase, ménager les communs de la connaissance tout en répondant aux exigences de l’innovation c’est bien le fil rouge de mes questions depuis le début, il se trouve que le sujet m’intéresse et que je suis curieux de savoir si, et comment (dans les grandes lignes bien sûr) ils se proposent de le résoudre.
Donc je me répète, la description d’un système d’appel d’offres documentalistes tel que les réponses que j’ai eues ne me satisfait pas pour décrire ce projet.