-
Alors moi j’ai une question. Que faites-vous si le cours ne monte pas ? Car votre système suppose que le cours augmente toujours. Ce qui en soit n’est pas impossible mais très compliqué….
-
Après il est éventuellement possible de vendre votre stock de tokens APRÈS que le court soit monté (pour ne pas prendre de risque avec l’argent du client) et ensuite faire votre opération…
Mais même là désolé ça me parait un peu être le casino…. -
Rien compris
-
Mais dans le doute je mettrai 1 €
-
Bonjour,
Nous avons justement recherché les solutions à ce défaut pendant plusieurs mois.
Le business model entier sera dévoilé dans le White Paper 2 et vous allez être surpris mais la solution est encore plus simple que de faire notre opération après la montée du cours
-
En ce qui me concerne ça me fait penser à de l’arbitrage ou du carry trade. Ça y ressemble mais ça reste différent bien sûr
-
Bonjour à tous,
Et voilà, après plusieurs mois de tests et de rectifications nous sommes heureux de pouvoir vous présenter la version finale de notre Lite Paper.
Version française ici : bit.ly/3OMBZJc
Il y a eu beaucoup d’évolution depuis la publication du premier post le 8 janvier 2021, si bien que certaines énonciations antérieures ne sont plus exactes.
À ce stade, nous cherchons à développer la notoriété du projet.
Le site est disponible en français: https://bit.ly/3oFWexF
Une synthèse vidéo sera aussi disponible demain sur notre chaine youtube dans laquelle j’aurai le plaisir de me présenter.
Héloïse
-
Bonjour Héloïse
Je pense que l’objectif est louable, mais le projet décrit ne peut pas marcher. C’est une variante du mouvement perpétuel.
Au mieux c’est juste un crowdfunding inefficient qui ne fonctionne qu’avec l’argent des donateurs.Ca serait bien plus simple et dans l’intérêt des patients de demander un agrément aux impôts pour percevoir des dons et délivrer un reçu fiscal https://www.impots.gouv.fr/professionnel/dons-et-reduction-dimpot
-
Bonjour Camille,
Merci beaucoup d’avoir lu le LitePaper.
Les dons sont principalement sans contrepartie. Concernant le crowdfunding, il y a quelques similitudes mais dans celui-ci vous participez à une seule campagne, généralement au tout début du projet ou éventuellement quelques années après si le projet veut se développer. Et il faut prendre en compte les difficultés liées à la revente de votre titre ou à son appréciation.
Dans notre modèle, l’opération peut être réalisée tous les jours, sans nouvelle création de titres ou autres bons de souscription qui diluent votre part, et nous ne sommes concernés que dans 1 à 10% des échanges journaliers (très très grossièrement parlant).
De plus, lors de nos opérations il y a une pression acheteuse sur le token et cela va encore plus loin puisque la supply (1 token à l’origine) sera de plus en plus réduite au fil du temps, à chaque patient servi :).
Il y a donc une possibilité de prise de valeur sur le token et pour son détenteur, de réaliser une plus-value bien plus importante que dans un modèle de crowdfunding classique. Et de notre côté, il y a la possibilité de financer bien plus de prothèses.
-
Je suis désolé de t’annoncer que le mécanisme décrit est IMPOSSIBLE.
Qui est la personne derrière ça ? Quelles sont ses compétences ? -
Camille,
Le modèle proposé par Hélice reste théorique puisqu’à ce jour, il n’y a aucun équivalent permettant, via une démarche scientifique, de conclure formellement que celui-ci est impossible ou invalide. Et comme aiment le dire les juristes : “jusqu’à preuve du contraire….”
Pourriez-vous néanmoins me préciser ce qui vous amène à votre conclusion ?
Je suis personne - Héloïse Ravaz- derrière ça. Mais quant à l’étalage de mon état civil, mon curriculum vitae, mon entourage, mon origine etc,. cela n’a pas lieu d’être. Pas à ce stade du moins. Si vous le permettez, je souhaite être jugée entièrement sur mon travail et non pas par le biais de quelconque marqueur. Un bon critique n’en a pas besoin pour se faire un avis.
-
Je suis *la personne
-
Jusqu’à preuve du contraire, ça marche aussi
-
Je note que ma réponse ne vous satisfait pas. Mais puisque je ne suis pas du genre à lâcher prise, permettez-moi de réitérer ma demande autrement :
Qu’est-ce qui vous amène à votre conclusion que le modèle Hélice est impossible ?
-
@héloise6776
Une seule question : d’où vient l’argent ? -
D’où vient l’argent pour financer les prothèses ?
L’argent provient de l’investisseur. Lorsque vous achèterez le token le vendeur sera soit, un autre investisseur (comme sur toutes les bourses), soit Hélice sur 1 à 10% des échanges journaliers.
À noter que l’identité d’Hélice sur le carnet d’ordres ne sera jamais masquée. De même que vous pourrez voir en direct nos rachats de tokens (au cours du marché) et le nombre de tokens définitivement supprimés.
-
@héloise6776
On progresse. Donc “l’investisseur” verse de l’argent pour payer les prothèses.
En échange il obtient un token. Qu’en fait-il ?S’il le garde c’est donc un don.
S’il le revend, on aura juste changé “d’investisseur” mais aucun argent frais ne rentre dans le système. Les motivations du nouvel acquéreur restent d’ailleurs obscures : soit il est désintéressé et on a perdu un donateur potentiel, soit il espère le revendre plus cher ultérieurement. Mais pourquoi plus cher, et à qui : mystère, dont la réponse ne ferait toujours pas entrer d’argent frais dans le système tout en saturant encore plus le vivier ”d’investisseurs" potentiels.Bref il faut donc taxer les transactions sur le token. Comment et à quel taux ?
Je veux bien t’expliquer une méthode qui grâce à la puissance de la blockchain permet d’utiliser près de 100% du montant investi pour l’achat de prothèses et de garantir en plus un cashback des 2/3 à l’investisseur.
-
Non, il ne verse pas d’argent. Il achète le token.
Permettez-moi de clarifier ce point avant de passer à votre question suivante :
Imaginez que vous possédez une petite épicerie. Avec la hausse de l’inflation, vous aimeriez offrir à vos clients vos produits à -5%, -10% voire…-50% ! Et…il se trouve que vous avez la main chanceuse en bourse. Vous vous rendez sur un échange de crypto-monnaies, vous empruntez de l’argent, vos trades sont gagnants et hop…vous générez 100k€ ! (bravo à vous). Ensuite ? Vous financez intégralement vos produits (coûts des fournisseurs, salariés, locaux mais aussi, votre marge). Et maintenant ? Il vous est possible de vendre exactement les mêmes produits (sans baisse de qualité) à vos clients à -50% (Il vous serait même possible de les donner gratuitement). Vous voyez qu’ici, contrairement à un don, personne ne vous a versé d’argent pour financer vos produits. Vous avez généré des gains en bourse et ensuite, vous avez utilisé ces gains pour les financer.C’est le même principe avec Hélice :
“Hélice n’utilise pas les gains générés comme sources de revenus mais pour financer les prothèses” (page 2 du Lite Paper)C’est la première étape.
-
@CamilleHonneur a dit dans Une jambe bionique pour le patient Dylan financée par ICO :
mais aucun argent frais ne rentre dans le système.
C’est tout l’inverse. Tel que cela est décrit dans le schéma 2, une fois que nous avons financé la prothèse nous allons voir le patient et lui demandons par exemple, 50% du prix. Nous utilisons cet argent pour racheter (argent qui rentre dans le système) et brûler le token.
Donc il y a un lien direct entre une véritable production de richesse : une prothèse vendue moins chère et la demande pour le token.À noter que 50% est le cas extrême. Parfois il arrive que certaines prothèses soient financées en partie par les assurances privée, des aides locales, associatives etc,. et dans ce cas là une baisse de seulement 10% par exemple peut largement aider le patient. Dans ce cas le le buyback et burn est de 90%.
-
- Que fait-il ?
Il aura droit à un dividende, qui provient notamment de la vente d’upsell.
- “Bref il faut donc taxer les transactions sur le token. Comment et à quel taux ?”
Surtout pas, aucun investisseur n’appréciera cela. Nous ne financerons jamais aucune prothèse avec des frais de transaction. On les finance uniquement grâce au modèle décrit sur la page 2.
- "… permet d’utiliser près de 100% du montant investi pour l’achat de prothèses et de garantir en plus un cashback des 2/3 à l’investisseur."
Quelle est cette méthode ?