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Bonjour Camille,
Merci beaucoup d’avoir lu le LitePaper.
Les dons sont principalement sans contrepartie. Concernant le crowdfunding, il y a quelques similitudes mais dans celui-ci vous participez à une seule campagne, généralement au tout début du projet ou éventuellement quelques années après si le projet veut se développer. Et il faut prendre en compte les difficultés liées à la revente de votre titre ou à son appréciation.
Dans notre modèle, l’opération peut être réalisée tous les jours, sans nouvelle création de titres ou autres bons de souscription qui diluent votre part, et nous ne sommes concernés que dans 1 à 10% des échanges journaliers (très très grossièrement parlant).
De plus, lors de nos opérations il y a une pression acheteuse sur le token et cela va encore plus loin puisque la supply (1 token à l’origine) sera de plus en plus réduite au fil du temps, à chaque patient servi :).
Il y a donc une possibilité de prise de valeur sur le token et pour son détenteur, de réaliser une plus-value bien plus importante que dans un modèle de crowdfunding classique. Et de notre côté, il y a la possibilité de financer bien plus de prothèses.
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Je suis désolé de t’annoncer que le mécanisme décrit est IMPOSSIBLE.
Qui est la personne derrière ça ? Quelles sont ses compétences ? -
Camille,
Le modèle proposé par Hélice reste théorique puisqu’à ce jour, il n’y a aucun équivalent permettant, via une démarche scientifique, de conclure formellement que celui-ci est impossible ou invalide. Et comme aiment le dire les juristes : “jusqu’à preuve du contraire….”
Pourriez-vous néanmoins me préciser ce qui vous amène à votre conclusion ?
Je suis personne - Héloïse Ravaz- derrière ça. Mais quant à l’étalage de mon état civil, mon curriculum vitae, mon entourage, mon origine etc,. cela n’a pas lieu d’être. Pas à ce stade du moins. Si vous le permettez, je souhaite être jugée entièrement sur mon travail et non pas par le biais de quelconque marqueur. Un bon critique n’en a pas besoin pour se faire un avis.
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Je suis *la personne
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Jusqu’à preuve du contraire, ça marche aussi
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Je note que ma réponse ne vous satisfait pas. Mais puisque je ne suis pas du genre à lâcher prise, permettez-moi de réitérer ma demande autrement :
Qu’est-ce qui vous amène à votre conclusion que le modèle Hélice est impossible ?
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@héloise6776
Une seule question : d’où vient l’argent ? -
D’où vient l’argent pour financer les prothèses ?
L’argent provient de l’investisseur. Lorsque vous achèterez le token le vendeur sera soit, un autre investisseur (comme sur toutes les bourses), soit Hélice sur 1 à 10% des échanges journaliers.
À noter que l’identité d’Hélice sur le carnet d’ordres ne sera jamais masquée. De même que vous pourrez voir en direct nos rachats de tokens (au cours du marché) et le nombre de tokens définitivement supprimés.
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@héloise6776
On progresse. Donc “l’investisseur” verse de l’argent pour payer les prothèses.
En échange il obtient un token. Qu’en fait-il ?S’il le garde c’est donc un don.
S’il le revend, on aura juste changé “d’investisseur” mais aucun argent frais ne rentre dans le système. Les motivations du nouvel acquéreur restent d’ailleurs obscures : soit il est désintéressé et on a perdu un donateur potentiel, soit il espère le revendre plus cher ultérieurement. Mais pourquoi plus cher, et à qui : mystère, dont la réponse ne ferait toujours pas entrer d’argent frais dans le système tout en saturant encore plus le vivier ”d’investisseurs" potentiels.Bref il faut donc taxer les transactions sur le token. Comment et à quel taux ?
Je veux bien t’expliquer une méthode qui grâce à la puissance de la blockchain permet d’utiliser près de 100% du montant investi pour l’achat de prothèses et de garantir en plus un cashback des 2/3 à l’investisseur.
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Non, il ne verse pas d’argent. Il achète le token.
Permettez-moi de clarifier ce point avant de passer à votre question suivante :
Imaginez que vous possédez une petite épicerie. Avec la hausse de l’inflation, vous aimeriez offrir à vos clients vos produits à -5%, -10% voire…-50% ! Et…il se trouve que vous avez la main chanceuse en bourse. Vous vous rendez sur un échange de crypto-monnaies, vous empruntez de l’argent, vos trades sont gagnants et hop…vous générez 100k€ ! (bravo à vous). Ensuite ? Vous financez intégralement vos produits (coûts des fournisseurs, salariés, locaux mais aussi, votre marge). Et maintenant ? Il vous est possible de vendre exactement les mêmes produits (sans baisse de qualité) à vos clients à -50% (Il vous serait même possible de les donner gratuitement). Vous voyez qu’ici, contrairement à un don, personne ne vous a versé d’argent pour financer vos produits. Vous avez généré des gains en bourse et ensuite, vous avez utilisé ces gains pour les financer.C’est le même principe avec Hélice :
“Hélice n’utilise pas les gains générés comme sources de revenus mais pour financer les prothèses” (page 2 du Lite Paper)C’est la première étape.
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@CamilleHonneur a dit dans Une jambe bionique pour le patient Dylan financée par ICO :
mais aucun argent frais ne rentre dans le système.
C’est tout l’inverse. Tel que cela est décrit dans le schéma 2, une fois que nous avons financé la prothèse nous allons voir le patient et lui demandons par exemple, 50% du prix. Nous utilisons cet argent pour racheter (argent qui rentre dans le système) et brûler le token.
Donc il y a un lien direct entre une véritable production de richesse : une prothèse vendue moins chère et la demande pour le token.À noter que 50% est le cas extrême. Parfois il arrive que certaines prothèses soient financées en partie par les assurances privée, des aides locales, associatives etc,. et dans ce cas là une baisse de seulement 10% par exemple peut largement aider le patient. Dans ce cas le le buyback et burn est de 90%.
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- Que fait-il ?
Il aura droit à un dividende, qui provient notamment de la vente d’upsell.
- “Bref il faut donc taxer les transactions sur le token. Comment et à quel taux ?”
Surtout pas, aucun investisseur n’appréciera cela. Nous ne financerons jamais aucune prothèse avec des frais de transaction. On les finance uniquement grâce au modèle décrit sur la page 2.
- "… permet d’utiliser près de 100% du montant investi pour l’achat de prothèses et de garantir en plus un cashback des 2/3 à l’investisseur."
Quelle est cette méthode ?
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Le mécanisme se base sur des postulats naïfs et évidemment faux
Postulat n⁰1 : le don de divination
Vous voyez qu’ici, contrairement à un don, personne ne vous a versé d’argent pour financer vos produits. Vous avez généré des gains en bourse et ensuite, vous avez utilisé ces gains pour les financer.
Tu postules que tu peux gagner sur le marché à tous les coups. Non seulement c’est impossible, mais l’argent vient toujours de quelque part.
Le problème de ton fameux algorithme magique est qu’il nécessite le don de divination (schéma 1)
Comment sais tu à l’avance qu’il faut soit acheter soit vendre le token ? (Étape 1)
Car c’est ensuite que le token monte ou baisse, après la décision d’investissement.
Il manque donc deux cas dans ton tableau, celui où tu as acheté et ça baisse et celui où tu as vendu et ça monte.Mais ce n’est pas fini : ensuite intervient le mécanisme qui va pérenniser l’astuce et restaurer le prix en cas de baisse du token pour recommencer :
Postulat n⁰2 : le burn magique
Le deuxième postulat faux consiste à penser aussi naïvement qu’il suffit de burn un token pour que son prix monte comme par enchantement
Et pourquoi quelqu’un achèterait le token plus cher ? Ah oui : grâce au postulat n⁰1 et à l’argent infini, il aura droit à plus de dividende d’où sa motivation.
Voilà donc le secret de la richesse infinie. On s’en doutait un peu. Si ça existait ça se saurait.
Normalement à ce stade il y a deux réactions possibles :
- Le scammer hurle au FUD, insulte et te dit de rester sur ton livret A:
- Le naïf de bonne foi, en plein déni, n’admettra pas pour son ego qu’il a pu se planter publiquement et va se lancer dans un argumentaire alambiqué et toujours plus absurde.
Ce qui me désole est que tu annonçais le 8 septembre 2021 :
Au cours de ces derniers mois, nous avons fait valider sa plausibilité par des professeurs de finance et des phases de testing sont en cours de finalisation.
Qui sont ces “professeurs de finance” ? D’ailleurs un seul aurait suffit, mais je pense qu’en tout état de cause tu ne leur as jamais montré ton schéma 1 sinon ils rigoleraient encore.
Puis il y a une semaine, près d’un an plus tard :
Et voilà, après plusieurs mois de tests et de rectifications nous sommes heureux de pouvoir vous présenter la version finale de notre Lite Paper.
Tu pourrais détailler ton protocole de test en annexe du papier ?
Si tu veux vraiment que ton projet aboutisse, avoue que tu es la seule personne derrière le projet et que je suis le premier à l’avoir lu sérieusement. Puis quand tu auras réalisé l’erreur, corrige ton papier et on en reparlera sur de bonnes bases.
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Ce message a été supprimé !
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- L’art divinatoire
Je n’ai malheureusement aucun talent divinatoire. Si tel était le cas, j’aurais déjà réglé le problème des patients depuis longtemps, en flip flop sur un transat, à me dorer la pilule sous le soleil des Tropiques.
Mais je vous invite à lire le paragraphe qui se trouve juste en dessous du schéma 1.
Aussi surprenant que cela puisse vous paraître, Il y aura quelques petites spécificités sur le carnet d’ordres qui permettront à Hélice de “sécuriser” des trades à l’avance (avec bien sûr l’accord de l’investisseur). L’argent doit bien provenir de quelque part.
- La pensée magique
Dans le LitePaper, vous ne trouverez aucune mention sur une “hausse du cours”. Et encore moins que le buyback doit "restaurer le prix en cas de baisse du token” ou pire encore, que le burn “permettra de faire monter le token”.
Le choix des mots est important. Ainsi, il n’est pas écrit que le buyback "…génère une pression à la hausse sur le token”. Mais "….génère une pression d’achat”
Et en effet il existe bien un mécanisme qui, tous les jours, à chaque patient servi, fait rentrer de l’argent frais avec lequel des tokens sont achetés mais jamais revendus.De même qu’ici : "“Le client paye moins cher et le burn réduit l’offre totale de token”. "
C’est un fait. Une description de ce qu’il se produit une fois le burn effectué par Hélice. L’offre se réduit. Il n’est pas mentionné que cela ““permettra de faire monter le token”.
Nous n’évoquons aucun un lien de cause à effet infaillible qui garantit à lui seul une hausse du cours. Évidemment, ce serait bien trop facile (et mes flip-flop encore…). Mais si vous comblez le tout avec, de surcroît, le fait qu’il n’y a qu’1 token à l’origine, aucune création monétaire, une vraie utilité du token etc,. reconnaissez qu’il y a bien quelques petites circonstances aggravantes^^ Du moins, bien plus que dans du simple crowdfunding.
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@CamilleHonneur a dit dans Une jambe bionique pour le patient Dylan financée par ICO :
Ce qui me désole est que tu annonçais le 8 septembre 2021 :
Parce que ces choses prennent beaucoup de temps. Bien plus que ce qu’on pourrait le penser. Toutes les entreprises ont des retards. Développer un projet crypto c’est très long et très cher si vous voulez le faire……légalement.
Un seul professeur ne paraîtrait-il pas encore plus suspect qu’aucun ? Mais pour répondre à votre question : Pourquoi ? Car le Lite Paper n’est pas vraiment un document “financier” ni technique. Le Yellow Paper oui, et j’espère que je pourrais le publier d’ici octobre, mais cela dépendra aussi….de mon avocat (hic)
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Vous dites : "Si tu veux vraiment que ton projet aboutisse, avoue que tu es la seule personne derrière le projet et que je suis le premier à l’avoir lu sérieusement. Puis quand tu auras réalisé l’erreur, corrige ton papier et on en reparlera sur de bonnes bases. "
Je n’avouerai pas puisque que cela est faux.
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Tu as donc choisi le mode déni.
Tu ne recherches donc -probablement inconsciemment- que l’admiration d’autrui. Bonne chance.Je préviens simplement les futurs investisseurs qu’ils perdront tout et que l’argent de l’ICO sera dilapidé dans des arbitrages absurdes.
Ca sera une belle opportunité pour celui qui saura exploiter les failles de ton carnet d’ordres magique, car l’argent ira bien quelque part.
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On sera très loin d’un modèle aussi complexe que dans la DeFi, mais le carnet d’ordres d’Hélice contiendra ses propres caractéristiques.
En revanche, je ne comprends pas. Pourquoi parlez vous d’arbitrages ? Pourquoi cela précisément ? Il n’y a rien dans notre modèle qui se rapprochera d’opérations d’arbitrage
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@héloise6776 a dit
En revanche, je ne comprends pas.
Mon conseil : retourne voir tes “professeurs de finance” s’ils existent avec ton lite paper et nos échanges.