[Revue de Presse] ● Libra : les contours de la future cryptomonnaie de Facebook
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[ La Libre Belgique ⎟ Édition du mercredi 28 2019 ⎟ Page 3 ]
Chasseurs de bugs
Par François Remy
Extrai La fondation Libra, (…) a lancé ce mardi un programme de récompenses pour les développeurs qui détecteront des anomalies et autres failles de sécurité dans le réseau blockchain devant accueillir à terme la fameuse monnaie virtuelle. (…)La version plus en détails disponible en ligne : https://www.lalibre.be/economie/entreprises-startup/jusqu-a-10-000-dollars-pour-quiconque-trouve-un-bug-dans-la-blockchain-de-facebook-5d653c5ef20d5a391ba24d5a
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[ Les Echos ⎟ Édition du 29 août 2019 ⎟ Page 24 ]
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Libra : Facebook face au risque de dissensions
Aucun des partenaires du réseau social n’a encore pris la parole publiquement pour défendre le projet de cryptomonnaie, alors que les critiques pleuvent.
Extrait (…) Ce mutisme commence à faire des vagues au sein du consortium. (…) Le « Financial Times » a révélé il y a quelques jours que plusieurs partenaires de Facebook songeaient à quitter le navire. Aucun membre de l’association n’a confirmé. (…) Toujours est-il que le malaise existe. (…) Surtout, les alliés de Facebook craignent les régulateurs nationaux et un plus grand contrôle de leurs activités. (…)
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[ Alternatives Economiques ⎟ Édition de septembre 2019 ⎟ Pages 76-77 ]
Libra : Facebook face à la raison d’Etat
Par Franck Aggeri, Professeur à Mines ParisTech
Extrait (…) Si le projet réussissait, l’entreprise-réseau deviendrait (…) un ordre privé non étatique, capable d’édicter ses propres règles, de gérer sa propre monnaie, mais aussi de contrôler les données personnelles et les transactions d’une partie de la population mondiale. Facebook empiéterait ainsi sur le domaine de la souveraineté des Etats. Le combat risque donc d’être long, et il n’est pas sûr que le principe de la liberté d’entreprendre l’emporte.
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[ LeMonde.fr ⎟ Édition numérique ⎟ 1er septembre 2019 ]
« Avec sa cryptomonnaie, Facebook veut concurrencer les services de transfert d’argent en Afrique »
L’économiste Jérôme Mathis analyse les promesses et les dangers du « libra », la future monnaie virtuelle du géant du Web. Par Jérôme Mathis, professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine, auteur du blog La Finance au cœur de nos vies.
Premières lignes Les populations non bancarisées de certaines régions du monde, dont l’Afrique, attendent avec impatience une cryptomonnaie facilement utilisable depuis des téléphones mobiles à faible débit et dont le cours n’est pas aussi instable que celui du bitcoin. Cette demande pourrait bien être satisfaite par la cryptomonnaie que Facebook développe actuellement : le « libra ». (…)
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[ France Culture ⎟ Podcast audio du 4 septembre 2019 ⎟ 56 minutes ]
La méthode scientifique : Facebook, il ne lui manque plus que la monnaie
Quelles sont les caractéristiques du libra, la nouvelle cryptomonnaie proposée par Facebook ? En quoi le lancement du libra peut-il être considéré comme une innovation de rupture ? Comment va-t-il impacter le monde des cryptomonnaies ? Émission animé par Nicolas Martin
Synopsis de l’émission C’est un réseau social, une messagerie, une sorte de média global, un support d’annonces publicitaires, une méthode de certification de l’identité et bientôt une banque mondiale parallèle. Le 18 juin dernier, Facebook annonçait son intention de lancer sa propre monnaie, une cryptomonnaie nommée Libra, officiellement à destination des pays où l’inclusion financière est très faible, particulièrement en Afrique. Mark Zuckerberg vantant les mérites de sa monnaie virtuelle comme un geste vers les “laissés-pour-compte” du système bancaire. Sur le papier, ça ressemblerait presque à un geste philanthropique. Mais comme toujours avec Facebook, le loup ne serait-il pas à la porte de la bergerie.
Facebook, il ne lui manque plus que la monnaie : c’est le programme sonnant et trébuchant qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique.
Et pour débusquer le loup dans le lit de grand-mère ou en tout cas pour essayer de comprendre de quoi il retourne, quelles sont les ambitions de Facebook et pourquoi plusieurs gouvernements même les plus libéraux tremblent, nous avons le plaisir de recevoir aujourd’hui Nathalie Janson, économiste, enseignante à la Neoma Business School de Rouen et Marc Bidan, professeur à l’école polytechnique de l’université de Nantes.
Le reportage du jour
Le Libra repose sur un algorithme de consensus et sa blockchain repose sur l’approche BFT (Byzantine Fault Tolerance), qui permet d’aboutir facilement à un consensus pour la bonne exécution des transactions. Eclairage d’Axel Simon, membre de la Quadrature du Net et spécialiste en sécurité et blockchain. Par Céline LoozenEcouter le podcast en ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/facebook-il-ne-lui-manque-plus-que-la-monnaie
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[ Challenges ⎟ Édition du jeudi 5 septembre 2019 ⎟ Pages 46 - 50 ]
Le pari fou de Facebook
Le réseau social américain promet de lancer sa propre devise, la libra, dès l’an prochain. Un énorme coup de communication, qui est pris très au sérieux par les banquiers et les gouvernants. Par Paul Loubière
Premières lignes Deux rencontres internationales cruciales ont eu lieu à la fin du mois d’août. L’une rassemblait à Biarritz le gratin de la politique internationale, de Donald Trump à Emmanuel Macron en passant par Boris Johnson et Angela Merkel et aspirait, entre autres, à éteindre l’incendie de la forêt amazonienne. L’autre se déroulait, beaucoup plus discrètement, en Suisse, pour éteindre un incendie dans la finance mondiale. Maxine Waters, présidente du comité des services financiers de la Chambre des représentants des Etats-Unis, a passé cinq jours pour rencontrer les émissaires du gouvernement helvète et de l’Autorité locale de surveillance des marchés financiers. Au menu, la libra, la monnaie virtuelle que veut lancer Mark Zuckerberg dès l’an prochain depuis la Suisse. Plus précisément depuis le 13, quai de l’Ile, à Genève, où a été domicilié le consortium qui va gérer cet ovni monétaire. « Bien que j’apprécie le temps que les responsables du gouvernement suisse ont pris pour nous rencontrer, a déclaré la parlementaire américaine, mon inquiétude demeure de permettre à une grande entreprise de technologie de créer une devise mondiale alternative sous contrôle privé. » -> (…)
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[ Linformaticien.com ⎟ Édition numérique ⎟ 10 septembre 2019 ]
Retour sur Libra, la monnaie Facebook
Elle n’est pas encore née qu’elle fait déjà les gros titres ! Libra, monnaie virtuelle conçue par Facebook, a été dévoilée dans un livre blanc. Indexée sur un panier d’actifs réels en réserve, cette « cryptomonnaie » voit sa gouvernance assurée par un petit nombre d’acteurs privés, ce qui n’enchante guère les États. Par Guillaume Périssat
Premières lignes (…) Jusqu’au 19 juin, le projet Libra de Facebook était nimbé de mystères. Les rumeurs, jamais démenties, prêtaient au géant controversé des envies de blockchain et de monnaie virtuelle. En mai 2018, la restructuration au sommet de l’entreprise voyait naître une branche entièrement dédiée à la blockchain, dirigée par David Marcus, jusqu’alors grand manitou de Messenger, et répondant directement au CTO de Facebook, Mike Schroepfer. On pouvait s’interroger à l’époque sur l’expertise du responsable de la messagerie instantanée en matière de « smart contracts » et de protocoles de consensus… cette nomination prend désormais tout son sens. Fin juin, Facebook a finalement publié le livre blanc dédié à Libra. Quoique techniquement, le rédacteur soit l’association Libra, dont le géant n’est qu’un membre fondateur parmi d’autres. Mais attention à ne pas confondre : le terme Libra désigne également la « monnaie » ainsi que la blockchain sous-jacente.
L’article complet en ligne : https://www.linformaticien.com/dossiers/libra.aspx#suite
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[ Reuters ⎟ Édition numérique ⎟ 11 septembre 2019 ]
La cryptomonnaie de Facebook va solliciter une licence en Suisse
Extrait (…) L’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) a confirmé avoir reçu une demande de la Libra Association, basée à Genève, pour évaluer ce projet de cryptomonnaie au regard du droit suisse de la surveillance. Il s’agit pour Libra de clarifier son statut réglementaire en vue d’obtenir une licence en tant que système de paiement. (…)
L’article complet en ligne : https://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRKCN1VW0JJ-OFRBS
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[ Le Temps ⎟ Édition du jeudi 12 septembre 2019 ⎟ Page 11 ]
La Finma clarifie les règles pour la libra
L’association qui chapeautera la future cryptomonnaie de Facebook depuis Genève devra obtenir une licence de la part de la Finma pour opérer un système de paiement. Signal positif envoyé aux acteurs des nouvelles technologies financières. Par Sébastien Ruche
Extrait (…) D’ordinaire, la Finma ne répond pas aux questions sur les licences qu’elle accorde ou qui lui auraient été demandées. Mais le projet libra n’a rien d’ordinaire. Cela explique peut- être que l’Autorité de surveillance des marchés financiers a annoncé mercredi matin avoir été approchée par ses animateurs, qui voulaient savoir s’ils auraient besoin d’une licence. (…) Pour cela, il faudra une licence, a donc répondu la Finma, puisque la libra sera considérée comme un système de paiement. (…) Reste la question du timing: la constitution d’une demande de licence peut prendre entre trois et six mois, auxquels s’ajoutent au moins six mois d’examen par la Finma. Ce qui reporterait vraisemblablement à l’automne 2020 le lancement de la libra, un peu au-delà du calendrier prévu jusque-là.
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Podcast audio. Rencontre avec le directeur général de Libra (avec Bertrand Perez). Par Grégory Raymond journaliste au magazine Capital - 23 minutes - 13 septembre 2019
Synopsis Aujourd’hui je reçois Bertrand Perez, le directeur général de Libra, l’organisation internationale qui développe la cryptomonnaie au sein de laquelle Facebook joue un rôle moteur. Forcément j’avais au moins 21 millions de questions à lui poser et on peut dire que l’actualité ne manque pas. À peine 3 mois après la présentation du projet qui entend fournir une monnaie stable et des services associés au monde entier, les États et les régulateurs n’ont pas manqué de pousser des cris d’orphraie. Certains n’hésitent pas à dire que Libra menacerait la souveraineté des États ! Avec Bertrand Perez, on fait le point sur ce qui coince et comment il compte montrer patte blanche aux régulateurs En parallèle, nous évoquerons le sujet électrique de la gestion des données personnelles, de l’étrange mutisme des entreprises ayant rejoint l’Association et nous évoquerons aussi des choses plus précises comme la convertibilité libra-bitcoins et le mystérieux projet de cryptomonnaie d’État chinoise.
C’est l’une des première fois que Bertrand Perez s’exprime dans la presse et je suis ravi que ce soit dans 21 Millions. Bonne écoute !Écouter le podcast : https://soundcloud.com/21millions/21millions-episode-25
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[ Capital.fr ⎟ Édition numérique ⎟ 13 septembre ]
Bertrand Perez, patron de Libra : “si des états souhaitent faire partie de la gouvernance on l’étudiera”
Sous le feu des projecteurs depuis sa présentation en juin dernier, le projet de cryptomonnaie Libra est suspecté de menacer la souveraineté monétaire des États. Pour la première fois depuis sa nomination, son directeur général, le Français Bertrand Perez, prend la parole. Propos recueillis par Grégory Raymond dans le cadre de son podcast #21MILLIONS
Nota Extraits de l’interview du poscast #21MILLIONS - Rencontre avec le directeur général de Libra (avec Bertrand Perez). Par Grégory Raymond journaliste au magazine Capital - 23 minutes - 13 septembre 2019
L’article complet en ligne : https://www.capital.fr/entreprises-marches/bertrand-perez-patron-de-libra-si-des-etats-souhaitent-faire-partie-de-la-gouvernance-on-letudiera-1350086
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[ Les Echos ⎟ Édition du lundi 16 septembre 2019 ⎟ Page 29 ]
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« Avec notre monnaie, nous ne ferons pas de création monétaire »
Par Bertrand Perez, dirigeant de l’association Libra
Extrait
Où en est l’association Libra ?
C’est une association à but non lucratif. Elle a 28 membres et nous finissons l’élaboration de sa charte, sans doute dans les prochaines semaines. Nous visons 100 membres l’année prochaine et nous les sélectionnerons de manière objective sur la base de règles et critères définis selon leurs domaines d’activité (ONG, sociétés commerciales, groupes de blockchain).L’article complet également en ligne : https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/avec-le-libra-nous-nallons-pas-faire-de-creation-monetaire-1131256
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[ Le Temps ⎟ Édition du jeudi 19 septembre 2019 ⎟ Page 2-3 ]
Au cœur du projet libra
La future monnaie virtuelle que veut lancer Facebook en 2020 a été imaginée par le Suisse David Marcus. Il pilote aujourd’hui ce projet, qui suscite de vives critiques. Rencontré à Genève, ville qui accueillera justement l’association Libra, il défend son projet. Propos recueillis par Anouch Seydtaghia, Stéphane Benoit-Godet et Sébastien Ruche
À la Une
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Mark Zuckerberg lui a confié la mission de créer la libra, une monnaie virtuelle qui per- mettrait à Facebook de devenir un moyen de paiement
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Nous avons rencontré l’homme de confiance du créateur du réseau social aux 2 milliards d’utilisateurs, le Genevois David Marcus, de passage en Europe
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Il répond pour la première fois aux rudes critiques de plusieurs gouvernements qui ne sont pas prêts à laisser Facebook frapper monnaie, un privilège étatique
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David Marcus donne des détails sur l’implantation à Genève de l’association Libra et se projette sur le lancement agendé au premier semestre 2020
-> (…)
Edit :
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[ AFP ⎟ Édition numérique ⎟ Dépêche du 20 septembre 2019 ]
Un ancien investisseur de Facebook alerte sur le “côté sombre” du réseau social
L’investisseur américain Roger McNamee, ancien mentor et soutien financier du fondateur de Facebook Mark Zuckerberg, met en garde contre le “côté sombre” du réseau social, déclare-t-il dans un entretien accordé à l’AFP.
Extrait (…) Facebook souhaite lancer sa cryptomonnaie, la Libra. A quoi peut-elle lui servir ? L’argument qu’ils mettent en avant, c’est que dans les pays en développement, en Inde, en Afrique, dans des endroits où il n’y a pas de banques, cette monnaie qui s’échange par téléphone, peut permettre des activités bancaires. Et cela peut effectivement être le cas. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que du jour au lendemain, les marchés financiers peuvent passer à une monnaie comme la Libra, car c’est une manière de contourner les impôts, les contrôles et la capacité des gouvernements à maintenir des marchés financiers en ordre.
L’article complet en ligne : https://www.afp.com/fr/infos/334/un-ancien-investisseur-de-facebook-alerte-sur-le-cote-sombre-du-reseau-social-doc-1kg1ug3
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[ Le nouvel Economiste ⎟ Édition du vendredi 20 septembre 2019 ⎟ Page 17 ]
Bertrand Perez, directeur de l’association Libra
Bertrand Perez, directeur de l’association Libra, définit pour le ‘nouvel Economiste’ ce qu’est le libra, la monnaie de Facebook, et ses véritables ambitions. “Le libra sera un moyen de paiement pour acheter sur Internet et pour faciliter les transferts internationaux d’argent (…). La population cible est celle des titulaires de téléphone mobile avec connexion internet dans les pays en développement, soit environ 500 millions de personnes.” Interview menée par Philippe Plassart
Extrait (…) Le libra sera adossé à une réserve monétaire composée d’un panier de monnaie comprenant du dollar, de l’euro, du sterling, du yen et des obligations d’État à très court terme. L’objectif n’est pas de faire de la spéculation mais de garantir une stabilité de valeur, avec des fluctuations minimes. Libra sera la traduction monétaire des politiques monétaires des banques centrales du panier. (…)
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[ Le Temps ⎟ Édition du samedi 21 septembre 2019 ⎟ Page 16 ]
La libra créera un «internet de l’argent»
Olivier Depierre, avocat spécialisé dans la blockchain
Extrait (…) A terme, il serait possible d’envoyer et de recevoir des libras via par exemple WhatsApp et Messenger sur des codes QR, puis ultérieure- ment sur iOS et Android.
C’est ce qui ressort du complément au guide pratique sur les ICO – pro- cédé permettant de lever de l’argent en échange de jetons (tokens) – publié il y a dix jours, dans lequel la Finma informe avoir reçu une demande d’évaluation de la part de Libra. (…)
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[ 01Net.com ⎟ Édition numérique ⎟ 23 septembre 2019 ]
La cryptomonnaie de Facebook sera basée à 50% sur le dollar américain, excluant la devise chinoise
Le dollar américain représentera la moitié du panier de devises soutenant la libra, monnaie numérique lancée par Facebook. La devise chinoise est exclue des réserves. Par 01net
Extrait (…) Sollicité par un eurodéputé allemand, Fabio De Masi, le premier réseau social du monde a indiqué que les réserves de la libra seront composées à 50% de dollar américain, 18% d’euro, 14% de yen, 11% de livre sterling et 7% de dollar singapourien. Le yuan chinois a été totalement exclu. (…)
L’article complet en ligne : https://www.01net.com/actualites/la-cryptomonnaie-de-facebook-sera-basee-a-50percent-sur-le-dollar-americain-excluant-la-devise-chinoise-1772920.html
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[ LeMondeInformatique.fr ⎟ Édition numérique ⎟ 24 septembre 2019 ]
Facebook s’offre les chatbots de Servicefriend pour renforcer Libra
Pour accompagner le lancement de Libra, sa future monnaie virtuelle, Facebook a mis la main sur Servicefriend, une start-up israélienne qui développe des agents conversationnels. Celle-ci sera rattachée à Calibra, la filiale créée par le réseau social pour assurer la gestion de sa cryptomonnaie. Par Véronique Arène
Extrait (…) Cet outil sera connecté aux plateformes de messagerie Messenger et WhatsApp (toutes deux détenues par Facebook), qui comptent déjà plus d’un milliard d’utilisateurs. Les agents conversationnels de Servicefriend seront utilisés pour assurer la gestion du service clients de Libra. (…)
L’article complet en ligne : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-facebook-s-offre-les-chatbots-de-servicefriend-pour-renforcer-libra-76526.html
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[ Les Echos ⎟ Édition du jeudi 27 septembre 2019 ⎟ Page 35 ]
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Le libra de Facebook lie son destin au dollar
Le billet vert représentera 50% du panier de monnaies de référence sur lequel sera adossé le libra. L’euro aura un poids de 18%, suivi par le yen (14%), la livre sterling (11%) et le dollar de Singapour (7%). Par Nessim Aït-Kacimi
Extrait (…) Le groupe américain a choisi les principales monnaies, les plus traitées et liquides, à l’exception du dollar de Singapour, qui n’entre pas dans ces critères. Ce choix tient peut-être au fait que ce pays est très ouvert aux cryptos et ICO (émissions de jetons). En outre, le groupe ambitionne d’en faire une des zones de développement prioritaires du libra. En intégrant la monnaie dans son panier, il favorise l’adoption du libra par les Singapouriens.
L’article complet également en ligne : https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/le-libra-de-facebook-lie-son-destin-au-dollar-1134828
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[ Le Point ⎟ Édition du jeudi 26 septembre 2019 ⎟ Pages 78-90 ]
Notre avenir selon Mark Zuckerberg
Entretien. Le PDG de Facebook a reçu Le Point en exclusivité pour l’Europe dans son QG de Menlo Park, en Californie. Par Guillaume Grallet, avec Guerric Poncet et Héloïse Pons
Extrait
Concernant libra, la cryptomonnaie de Facebook, comprenez-vous les réticences de certains gouvernements, dont celui de la France? je pense que les personnes qui vont le plus bénéficier de ce service sont celles qui n’ont pas accès à un système financier aujourd’hui. Aux Etats-Unis ou en Europe, nous avons accès à un système monétaire stable, à un système de paiement qui fonctionne bien. Sans doute libra apportera-t-elle des fonctions qui ne sont pas développées comme le micropaiement, mais elle bénéficiera essentiellement aux pays en développement, où la population a difficilement accès aux services bancaires. Ou, dans le cas où il existe une monnaie, lorsque le gouvernement risque de vous la prendre ou de jouer sur l’inflation en lui faisant perdre de la valeur. Donc, je pense que des centaines de millions — sans doute même des milliards — de personnes dans le monde ont besoin d’un service comme libra. J’ai bien conscience que la blockchain est une technologie émergente. Nous ne lancerons pas les services relatifs à la cryptomonnaie libra tant que nous n’aurons pas eu les accords du régulateur de chaque pays. (…)